12/12/2010 Comment ai-je pu vivre sans lire ce roman de Roy Lewis : Pourquoi j’ai mangé mon père ? Merci L. pour cette découverte qui ne fait qu’affirmer tout ce que nous pouvons connaître de l’homme au fur et à mesure de nos vécus.
Nos avenirs

12/12/2010 Comment ai-je pu vivre sans lire ce roman de Roy Lewis : Pourquoi j’ai mangé mon père ? Merci L. pour cette découverte qui ne fait qu’affirmer tout ce que nous pouvons connaître de l’homme au fur et à mesure de nos vécus.
02/11/2010 Les temps sont difficiles, presque intenables ; alors il faut bien se raccrocher à quelque chose, à quelqu’un ou à… une phrase ! Petit leitmotiv qui trotte dans la tête, qui peut nous maintenir dans l’espoir du bonheur. Ces mots seront
20/10/2010 Dernière série, intitulée “Je me souviens“. Les souvenirs de Georges Perec m’ont accompagné durant tant d’années. « Ces “Je me souviens“ ne sont pas exactement des souvenirs, et surtout pas de quotidien, des choses que, telle ou telle année,
23/09/2010 Mon retour – le énième, l’interminable – en Orient , au plus proche de mes racines, celles de mes sangs ancestraux, a été douce grâce à Richard. Traîne pas trop sous la pluie (roman cette fois-ci, après son spectacle du même
18/07/2010 Bernard Giraudeau s’en est allé voguer derrière la ligne d’horizon. Son livre Le marin à l’ancrerestera pour moi une grand moment de bonheur et de tendresses. Ses récits d’ailleurs marins – adressés à son ami Roland qui ne pouvait
09/05/2010 « Il faut vivre ». Tout simplement. Garder le fil depuis L’inconvénient d’être nédont parle Cioran jusqu’à son épilogue. Pas évident et pas facile quand on a un œil posé sur le monde et l’autre sur soi. Rester sur la ligne,
12/04/2010 Il m’a bien fallu 24 heures pour me remettre de mes émotions après avoir vu Fabrice Luchini, hier dimanche au théâtre de l’Atelier, nous clamant du Philippe Muray. Il faut bien laisser passer une nuit pour décanter le subtil
29/01/2010 Jerome David Salinger, l’écrivain de L’attrape-cœurs avait compris que la disparition était le meilleur moyen de ne jamais tomber dans l’oubli. Je ne vais pas tarder à en faire autant pour entrer dans la postérité. Je rigole, pour la postérité
07/01/2010 Je viens de finir le succulent Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer de Danny Laferrière. Je l’ai lu en deux aller-retour sur les lignes 2 et 13 du métro, deux segments urbains où certains indigènes et