27/11/2010
Amiour #25

« Sur la vitre diaphane s’abattent des cordes en effervescence. Meurtrie, telle est ma triste essence !
Le cœur battant la chamade, profonde affliction.
Rencontre au sommet da la grisaille extrinsèque et intrinsèque. Visage terne, névrose des jours sans lendemains, apparaît au grand jour. Noir. Regard hagard perdu dans le néant infini.
Vague à l’âme…
Mal à mes mots.
Mal à ma vie à en mourir.
Au secours, toi qui a dit que “le rire est le propre de l’homme“. »

B.