19/03/2010
Ôde maritimede Fernando Pessoa au théâtre de la Ville, ou le voyage immobile de port en port, d’océan en océan, d’univers en univers. Sans ce poète je pense que j’aurais bien du mal à comprendre le monde, la vie et les hommes. Je revêts ainsi Le livre de l’intranquillité comme une douce mélancolie qui m’enveloppe et me protège d’un univers que j’ai souvent du mal à vivre.
Claude Yacoub
Architecte