05/01/2010
Dans le métro ou dans le bus, sur deux béquilles, personne ne se lève pour me laisser sa place… sauf les personnes âgées ! Les en-pleine-forme sont bien trop occupés par leur bien-être. Et pour arriver à s’asseoir : ne parlons pas des changements de trajectoire ou autres déviations à improviser, en permanence et en temps réel, slalom géant entre les piquets humains et les murs. Les seconds sont presque plus flexibles que les premiers !