La première femme street artist en Afghanistan
(17/12/2019 – Cy)

“Je dessine des femmes en burqa souvent dans un style moderniste sur les murs. Je veux parler de leurs vies, trouver un moyen de les faire sortir de l’obscurité, ouvrir leurs esprits.

Beaucoup de personnes à travers le monde pensent que la burqa est le problème. Ils croient que si les femmes enlèvent la burqa, elles n’auront plus de problèmes. Ce n’est pas vrai, affirme l’artiste. Quand les femmes n’ont pas accès à l’éducation, c’est un problème plus grand que la burqa car quand elles l’enlèvent, elles le rencontrent toujours. On doit se concentrer sur les grands problèmes.

“Pour peindre sur les mauvais souvenirs de la guerre.”

Je n’ai pas toujours l’opportunité de faire des graffitis dehors, une fois tous les deux ou trois mois uniquement. Parfois pour des raisons de sécurité, d’autres fois je ne peux aller dans une région à cause des gens.”

Pour continuer à créer, la solution :  “Dream of Graffitis” (photomontages de croquis sur des photos de différents lieux de Kaboul).