31/12/2010
Je me souviens à Fort-de-France, au Séminaire Collège, d’une institutrice que nous adorions et qui un beau jour nous a annoncé en milieu d’année scolaire qu’elle nous quittait pour regagner la Métropole pour des raisons personnelles.
Nous avons pleuré comme des gâteaux au coco (madeleines martiniquaises) et lui avons alors chanté “ce n’est qu’un au revoir“.
Moi, je vous avais prévenu au premier jour de ce blog (01 janvier 2010) que je vous quitterais à la fin de l’année pour regagner une autre métropole. Vous n’êtes donc pas sous le choc et encore moins envahi par un sentiment d’abandon, n’est-ce pas ?
Vous n’allez pas pleurer et vous n’allez pas me chanter une chanson aussi nunuche que celle de mon enfance de séminariste. On se retrouve bientôt, très vite, plus vite que vous ne le croyez.
Tantôt.