27/10/2010
Je me souviens de ces cinq pianos qui jouaient tous seuls des révoltes sourdes et obsessionnelles. C’était au Théâtre de Gennevilliers (T2G) il y a deux ans, trois peut-être. Ils résonnent encore dans ma tête ces souffles d’éternité numérique programmée par un doux furieux dont j’oublie le nom.