06/10/2010
Je me souviens d’un soir de printemps à la Cité de la Musique à Paris, il y a deux ans et quelques poussières, j’avais rendez-vous avec le charme, l’envoûtement et la grâce.
Hélène Grimaud m’a alors enveloppé de ses interprétations magiques. Cette dernière, Piano sonata no. 2 in B flat minor, op. 36, de Frédéric Chopin, vibre encore dans mon être et me porte dans les moments où, fatigué, j’ai besoin d’une présence rassurante qui m’aide à supporter la vie.