25/09/2010
Après tout ce que je vous ai écrit hier ne me croyez pas triste, loin de là. Désespéré, dirons-nous. Je suis dans une salle d’attente aux murs vierges, la table basse n’a même pas de revues People. Lucide et réaliste, j’attends, calmement, patiemment. La porte ne s’ouvre pas, aucun bruit, un silence assourdissant. Je laisse passer les nuages, ils sont bien nombreux. J’attends.