15/01/2010
Ligne 13, une dame qui n’en finit pas de parler au téléphone (sûrement une collègue de Paris 8). Tout le monde change de place pour avoir un peu de silence (pour une fois qu’on peut le faire sur la « ligne sardines ») mais moi, défenseur du calme collectif, je lui fait remarquer qu’elle pourrait arrêter de nous polluer avec sa vie privée. Elle me répond (en éloignant le téléphone de son oreille) : « je parle à qui je veux » et je lui rétorque aussi sec qu’elle a absolument raison sur la liberté de choix de son interlocuteur mais pas sur le lieu !