01/01/2010
« Claqué ». En général on finit l’année claqué, moi je la commence, pour la petite histoire, avec une déchirure musculaire. Tout cela pour dire, que pour la grande histoire, nous sommes bien d’accord qu’il n’y a pas de nouvelle année. Juste une linéarité infinie et un recommencement perpétuel d’actes et de gestes de chacun, mortels et immortels. Je ne peux donc pas vous souhaiter une bonne année personnel